La survie en logorrhée : c’est le même principe que le duel, mais en groupe, chacun doit prendre la parole à celui qui est en logorrhée. On rajoute une difficulté car, à deux, l’acteur sait qu’il n’a pas le choix, si un doit prendre la parole, ce sera forcément lui… Alors qu’en groupe, l’acteur est noyé dans la masse. Et pourquoi lui plutôt qu’un autre ? la prise de décision est alors plus difficile, et le copain continue à parler pendant qu’on hésite et que chacun se regarde pour savoir qui y va…
L’idée, à terme, est de générer un réflexe de volontariat, et qu’on se lance sans réfléchir. La question de décider d’y aller ou non ne doit plus se poser !